Confessions d’une mature au tel : ma vie de salope nympho

Ma routine de salope au tel : entre bites anonymes et voix chaudes

Salope un jour, salope toujours!

Moi c’est Vanessa, j’ai 39 ans, je vis à Marseille avec mon gros chat noir qui s’appelle Bite (oui, j’assume). Je suis célibataire, nymphomane assumée, et salope professionnelle. Ma vie, elle tourne autour d’une seule chose : le sexe. C’est pas un hobby, c’est ma mission. Je fais du tel rose mature pour gagner ma croûte, des vidéos pornos de temps en temps quand le cachet vaut le coup, et je baise à droite à gauche tous les jours. J’me lève le matin, je suis déjà trempée. Je commence par checker mes applis de cul — Tinder, Badoo, Gleeden, et même les plus chaux genre Pure ou Happn. Je chatte, je filtre, je sélectionne ma proie du soir. Un mec chaud, bien monté, pas trop sentimental, et surtout dispo pour un plan sans attache.
Ensuite, je me connecte sur la ligne de tel rose. J’adore démarrer la journée en me chauffant la chatte avec les appels des mecs qui fantasment sur une salope au tel. Y’en a qui veulent que je joue la maman vicieuse, d’autres le rôle de la secrétaire qui suce sous le bureau… et puis y’a les bien barrés, les pervers, les pieds, les couches, les vieux. J’prends tout. Je me fous de leur délire, tant que ça paye et que je peux me doigter en même temps, ça me va. Et crois-moi, y’a des voix qui me foutent en feu. Y’a ce mec, Manu, une voix grave et sale, il veut toujours que je joue la voisine qui se fait prendre par son fils. J’ai couiné comme une truie avec lui l’autre matin, j’en ai encore les cuisses qui collent.

Petite chatte, grandes histoires : mes aventures de salope dans les ruelles de Marseille

Après quelques appels, j’me rhabille (à moitié) et je sors chasser. Je dis toujours que je vais chercher ma baguette, mais c’est surtout des bites fraîches que je veux. Je traîne autour du Vieux-Port, des petits quartiers où je sais que les jeunes zonent. J’ai le flair, je sens les mecs qui cherchent un plan discret. Y’en a qui captent direct, un regard, un sourire un peu trop appuyé, et bam, j’l’emmène dans une ruelle ou derrière une camionnette. J’me baisse la culotte, je le suce vite fait ou j’me fais prendre à sec contre le mur. Y’a pas de romantisme, c’est brut, c’est crade, c’est comme j’aime. J’en veux pour mon plaisir, pas pour des fleurs.
Un jour, y’a eu ce gamin, à peine 20 ans, timide comme tout, mais la queue raide comme un manche. Il savait pas trop comment faire, alors j’ai tout pris en main. Je me suis agenouillée, je l’ai branlé doucement en lui léchant les couilles, et quand il a bandé bien fort, j’l’ai gobé tout entier. Il a giclé au fond, sans prévenir, j’ai tout avalé comme une vraie cochonne. Il m’a regardée avec des yeux ronds, et j’lui ai dit en riant : 'Bienvenue dans la vraie vie, chéri.' Il est reparti tout rouge, mais il m’a recontactée depuis. C’est comme ça, je laisse des traces.

Les perversions du tel rose mature : quand les voix me font jouir

Le soir, c’est le moment que je préfère. Mon plan cul approche, mais avant ça, je retourne sur le tel rose mature. Là, c’est l’heure des gros cochons. Des mecs seuls, mariés, frustrés, qui veulent vider leurs couilles par la voix. J’me cale dans mon canapé, nue, le vibro entre les cuisses, et j’réponds. Je suis leur fantasme vivant : la mature au tel, la MILF salope qui aime tout. Les demandes sont parfois tordues. Un m’a demandé que je crie pendant qu’il simulait m’étrangler. Un autre voulait que je parle à sa bite comme si c’était un bébé. Et moi ? J’rentre dans le jeu. J’me mouille, je me doigte, je hurle, je grogne. Ça me fait jouir. J’me branle vraiment, hein. Je fais pas semblant. Quand je sens qu’il bande dur, j’me frotte la chatte sur l’accoudoir du canapé, et j’me fais exploser le clito pendant qu’il gémit à l’autre bout.
Parfois j’raccroche en transpirant, le corps secoué de spasmes. Ce sont des voix, mais elles me rendent folle. Y’en a un, Denis, il m’appelle chaque vendredi. Il veut que je lui raconte comment je me fais prendre par deux livreurs dans une cage d’escalier. Chaque fois, j’raconte un truc un peu différent, mais j’me chauffe moi-même. J’en ai même écrit un scénario porno un jour, inspiré de ces appels. Et c’est moi qui l’ai tourné, la chatte écartée sur les marches. J’en ai tiré 1500 balles. Pas mal pour une histoire de branlette téléphonique, non ?

Le sexe, ma drogue : entre tel rose et plans trash

J’ai pas d’amoureux. J’ai des bites. Et ça me suffit. J’suis une salope, une vraie. Pas pour le style, mais pour la vérité. Le sexe, j’en ai besoin comme de bouffer. Si j’passe une journée sans jouir, je deviens agressive. Et heureusement, entre le sexe au tel et mes plans quotidiens, j’ai toujours de quoi me satisfaire. Mon corps ? Je l’entretiens, pas pour séduire, mais pour bander les mecs. Brune, cheveux longs, yeux noisette, 90D bien fermes, fessier large et ferme, un peu de cellulite mais j’en ai rien à foutre. Les mecs adorent. Ils veulent du vrai, du juteux, du sale. Je leur donne tout.
Le soir, quand je rentre de mon plan, je m’affale, je fume une clope, Bite (le chat) vient se coller à moi, et je souris. J’me dis que ma journée a servi. J’ai fait jouir dix mecs au téléphone, quatre en vrai, et j’me suis faite baiser dans une allée derrière un kebab. C’est ça, ma vie. Pas d’horaires, pas de routine chiante. Juste de la queue, du plaisir, et des orgasmes. Si ça choque, tant pis. Moi, j’suis heureuse comme ça. Et demain, j’recommence MDR.

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