Une vie de feu à Marseille, la chatte toujours en ébullition
Je m’appelle Nadine, 58 ans, et je bosse dans un sexshop crade mais excitant du Vieux-Port à Marseille. Divorcée depuis cinq ans, j’ai largué mon ex parce qu’il ne pouvait plus suivre mon appétit sexuel, qui s’est carrément emballé avec l’âge. Mes deux grands gosses sont partis vivre leur vie, me laissant seule avec mes envies de baise H24. Dans mon magasin, entourée de godes, de plugs et de vidéos porno, je mouille ma culotte dès qu’un mec passe la porte. Je kiffe l’idée de me faire sauter devant les clients, n’importe qui, du moment que je jouis. Je suis devenue une vraie nympho depuis que je taffe ici, et quand le shop est vide, je me branche sur le
tel rose mature. Sous le pseudo “Vicky”, je me branle comme une folle pendant que des mecs me demandent des trucs bien hard au
salope au tel, et putain, je prends mon pied à fond.
Mes nuits de débauche au téléphone rose
Quand le soir arrive et que le sexshop se vide, je ferme la caisse, je m’installe dans l’arrière-boutique, et je me lance sur le
mature au téléphone. Un string trempé, un soutif à moitié défait, je suis prête à faire bander n’importe quel mec au bout du fil. Les clients, c’est un mix de tarés : des jeunes qui bavent sur les
milf au tel, des vieux cochons qui veulent du sale, ou des mecs en manque qui me supplient de les faire jouir. Je leur donne ce qu’ils veulent, et je vais pas par quatre chemins. Y’en a qui me demandent de décrire comment je me fais défoncer le cul sur le comptoir du shop, avec un client qui me prend pendant qu’un autre mate. D’autres veulent que je gémisse comme une chienne en chaleur, en imaginant une baise brutale dans une backroom. Je balance des mots crus, je hurle presque, et leurs râles, leurs “vas-y, salope”, ça me fait tremper encore plus. Je kiffe les entendre craquer, et je te jure, je suis à deux doigts de jouir rien qu’en parlant, planquée derrière mes étagères de sex-toys.
Les fantasmes les plus tordus des mecs
Sur le
tel rose mature, y’a des mecs qui poussent le bouchon loin, et moi, j’adore plonger dans leurs délires dégueulasses. Un régulier, Serge, veut que je joue la patronne du sexshop qui le chope en train de sniffer une culotte dans le rayon lingerie et qui le “punit” en le forçant à se branler pendant que je me fous un gode dans la chatte et dans le cul. Il kiffe quand je décris chaque détail : ma chatte qui dégouline, le bruit du jouet qui vibre. Un autre, un mec nommé Léo, est à fond dans les scénarios de gangbang. Il me demande de raconter comment je me fais prendre par cinq clients dans l’arrière-boutique, avec des descriptions hard : des queues partout, ma bouche pleine, mon cul qui claque. Y’a même eu un type qui voulait que je sois une dominatrice qui l’attache et le “torture” avec des pinces et des mots bien sales. Les plus extrêmes demandent des trucs tabous, genre des jeux de rôle glauques ou des scénarios de soumission totale. Je pose mes limites, mais je les fais kiffer en restant bien crue, et putain, leurs voix qui tremblent, ça me rend folle.
Mes orgasmes en solo avec leurs voix
Et moi, dans tout ça ? Je me fais exploser de plaisir. Pendant que ces mecs me balancent leurs fantasmes, leurs voix rauques, leurs grognements, ça me met dans un état pas possible. Je m’affale sur une chaise dans l’arrière-boutique, ma main dans ma culotte, et je me caresse en écoutant leurs délires. Quand un mec me dit qu’il me baiserait contre les étagères du shop, je ferme les yeux, je m’imagine tout, et je me doigte à fond. Souvent, je chope un vibro du magasin, un de ces gros trucs qui font un boucan d’enfer, et je me le fous bien profond en suivant le rythme de leurs mots. Y’a ce client, un mec avec une voix grave de marin, qui me raconte comment il me boufferait la chatte pendant des heures, et je jouis en silence, en mordant mon poing pour pas gueuler. Le
sexe au tel, c’est mon exutoire, ma façon de baiser sans me salir, et chaque orgasme, c’est comme une décharge électrique qui me rappelle que je suis vivante, prête à tout pour jouir encore.